26.9.25

Un été à l'Île-de-Ré

1er jour : Saint-Martin-de-Ré :

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2ème jour : La Flotte-en-Ré :

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3ème jour : La port de Loix et le marais salant :

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4ème jour : Ars-en-Ré :

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5ème jour : Rivedoux et l'Abbaye des Châteliers :

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Nicolas globe croqueur.

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13.9.25

Première rencontre régionale à Dole

C'est toujours enthousiasmant de voir un groupe de sketchers se constituer dans une nouvelle ville.  Il y avait déjà de l'activité graphique à Dole, mais c'est en août cette année que le groupe local a formalisé sa première rencontre régionale, les 23 et 24.  J'étais à Dijon la veille, il ne me restait qu'un crochet à faire pour accompagner la naissance de ce petit chapitre qui promet un beau dynamisme.  Je retrouvais à l'occasion le berceau d'une bonne partie de ma famille, en prime.  Et le beau temps était au rendez-vous, comme une cinquantaine de sketchers qui avaient répondu présent sur ce week-end, venus de Strasbourg, Lyon ou même Brest !  Un joli succès donc, qui me laisse deux croquis ensoleillés dans mon carnet...

 


 

12.6.25

12ème rencontre nationale, Lyon 2025

En juin 2013, sur la photo, nous étions moins de 100 pour la toute première rencontre nationale USk. Beaucoup d'inconnus pour moi qui sont devenus des amis à mesure qu'on se croisait encore et encore dans d'autres lieux. Des rencontres nationales, depuis, il y en a eu 11, et je n'en ai raté que trois, pour des raisons professionnelles, et le COVID a obligé à sauter une année. Mais quand il s'est agi de retourner à Lyon, comme un écho à ce premier rassemblement aux répercussions personnelles immenses, j'étais partante ! Il y a 13 ans, nous avions eu froid, un vent rageur faisait voler les feuilles et claquer des dents. Cette fois, la météo était plus clémente, et ça joue énormément dans le genre d'activité que nous menons. J'appréhendais un peu la foule, après le millier de personnes décompté à Toulouse, et de fait, il semblerait que nous ayons cette fois excédé le record précédent. Chaque fois nous sommes plus nombreux à documenter le monde et nos vies dans nos carnets. Une très saine activité, me direz-vous, dont le succès rend un peu difficile les rendez-vous au même endroit à la même heure, comme les 'chemins de table' prévus par les organisateurs au soir de chaque journée de safari-croquis, pour découvrir les croquis des autres. Mais peu importe, même si parfois on s'est juste dit bonjour ou fait un signe de loin, je rentre avec l'impression d'avoir vu les copains, revigorée, ragaillardie et partante pour n'importe quelle nouvelle aventure graphique, et je parie que je ne suis pas la seule. Alors, encore une fois merci aux organisateurs, aux autres administrateurs mais aussi aux sponsors, notamment Hahnemülhe, qui nous fait des cadeaux précieux chaque année. 

Voici, pêle-mêle, ma moisson de croquis, glanée un peu hors-piste, le plus souvent. Mais l'urban sketching, c'est comme un buffet à volonté, non ? Évidemment, ça a ses codes, son vocabulaire un peu barbare, ses rituels et ses vedettes (bien contre leur gré, toujours), mais ça reste aussi ouvert, enthousiasmant, chaleureux et stimulant qu'il y a 13 ans, lors de cette première rencontre à Lyon qui a ouvert la voie à d'autres villes : Sète, Strasbourg, Nantes, Dijon, Bordeaux, La Rochelle, Toulouse, Aix,  Lille et, l'année prochaine, Rouen. Longue vie à cette belle aventure graphique et fraternelle !

 









 

1.1.25

2025

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Une très bonne année 2025 à toutes et à tous et aux sketcheuses et sketchers du monde entier.

Puissiez-vous apporter un peu d'optimisme dans un environnement qui s'annonce difficile et je ne suis guère optimiste.

Me concernant, je vais être appelé à prendre un nouvel envol à l'image de tous ces avions qui emmènent tout à chacun à travers la planète.

J'ai donc choisi, pour ma première publication de l'année de vous présenter des visuels aéroportuaires.

Je commence par le Terminal 1, de l'aéroport Charles-de-Gaulle, inauguré par le Premier ministre Pierre Messmer en 1974. L'architecte Paul Andreu, 29 ans, en est le concepteur. Le bâtiment en allure circulaire est rapidement surnommé «le camembert ».

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Je poursuis par l'autre aéroport parisien, celui d'Orly, qui a ma préférence par ce qu'à taille plus humaine.

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Et pour terminer, deux visuels d'une des pistes.

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C'est tout,... pour le moment!!!

Nicolas globe croqueur.

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17.11.24

Saint-Eustache et la Bourse du Commerce, septembre 2024

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Par une après-midi de fin septembre, je me suis joins à une sortie aquarelle au cœur de la capitale. 

Rendez-vous était donc pris sur la dalle des Halles, dans le centre de Paris, près de la "Canopée" et nous nous sommes focalisés d'abord sur l'église Saint-Eustache en commençant par quelques croquis...

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... avant de poursuivre par une aquarelle, traitée d'une façon qui m'a fait "sortir de ma zone de confort".

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Nous avons ensuite poursuivi par la Bourse du Commerce, située à proximité.

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Avant de terminer par un visuel des deux édifices.

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C'est tout, ... pour le moment !

Nicolas globe croqueur.

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25.10.24

2eme rencontre des Sud à Arles avec USK languedoc Roussillon

Après une première rencontre à Avignon en octobre 2022 nous avons renouvelé l’expérience d'une rencontre des groupes de dessins sur le vif, USK ou non opérant dans la région. Chacun invité a faire un pas de coté par rapport à son territoire d'origine  pour nous retrouver dans ce centre de gravité du bas de la vallée du Rhône, cette année la ville d'Arles.

Les dieux étaient avec nous pour ce week-end ensoleillé du 19 et 20 octobre entre deux épisodes cévenoles . Trois rendez vous chaque jours, 10 h place du Forum devant un café, midi au Jardin d'Hiver pour un pique-nique et en fin de journée place du Forum pour échanger sur nos productions et découvertes dans la ville.

Les participants qui ont appréciés la rencontre semblent unanimes pour la voir se renouveler l'an prochain dans une autre ville du coin mème si la richesse du patrimoine d'Arles semble difficile à égaler, mais des idées circulent...

Les rencontres intergroupe sont une idée à creuser, l'occasion de visiter des lieux qui se trouvent parfois en marge de plusieurs secteurs USK.

I


La photo de midi des participants su samedi, certains sont restés les deux jours d'autres le samedi ou le dimanche seulement.


Ma production de ces deux journées


 Aux arènes et au théâtre antique




Au hasard des rues









Le site de la tour et du parc Luma


 La nécropole des Alyscams  l'étrange atmosphère d' un voyage de l'antiquité au 16eme siècle.


29.9.24

Un été normand

 Par une semaine estivale pratiquement ensoleillée, je me suis joint à un groupe dans le cadre d'une rencontre d'aquarellistes sur. 5 demi-journées.

Pour commencer, ci-dessous, à la matinée du premier jour, voici un visuel depuis la plage d'Asnelles, sur la côte du Bessin.

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D'autres visuels de cette cité balnéaire ont suivi, comme un panoramique sur cette plage et une des bâtisses qui bordent celle-ci, tout d'abord en monochrome puis en couleurs.

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Pour continuer sur la lancée du bord de mer, la deuxième matinée aura été consacrée aux belles architectures qui bordent la plage d'Hermanville sur mer. Notre choix s'est porté sur cette ancienne propriété de la fin du XIXe Siècle transformée en immeuble d'habitations.

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Changement de sujet pour la troisième matinée. Direction le jardin public de l'hôtel de ville de Luc-sur-mer et sa curiosité locale.

Il s'agit d'un squelette d'une baleine bleue mâle qui a échouée sur la plage de Langrune, à côté de Luc-sur-mer, dans la nuit du 13 au 14 janvier 1885. Le docteur Delage, directeur du laboratoire maritime de la ville, la municipalité de Caen a acquis le cétacé lors d'une vente aux enchères au profit de la faculté des sciences de la ville. Ainsi commençât son dépeçage avant que le squelette ne soit exposé à l'église du Vieux Saint-Sauveur, qui servait aussi de halle aux grains. Par manque de place, il fut déplacé au jardin des plantes de Caen, mais suscitant peu d'intérêt au point d'envisager de le détruire, le maire de Luc-sur-mer de l'époque, Pierre Laurent, cherchant sans doute une "pièce maitresse" pour le nouveau parc municipal derrière l'hôtel de ville, proposa de le rapatrier en 1938 à l'emplacement ou il se trouve aujourd'hui.

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Pour la quatrième matinée, nous avons pénétré à l'intérieur des terres pour nous rendre sur la cathédrale de Bayeux.

Après un rapide croquis aquarellé, nous nous sommes focalisés sur des détails architecturaux.

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Pour la cinquième et dernière matinée, c'est sur le port de Courseulles-sur-mer que nous nous sommes retrouvés.

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C'est tout..., pour le moment !!!

Nicolas globe croqueur.

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