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Pour ma première publication de l'année (exception faite de celle des voeux) et par rapport à l'actualité et la disparition de Ricardo Bofill, j'ai décidé de me rendre dans un quartier du quatorzième arrondissement de Paris.
En hommage à cet architecte né en 1939 à Barcelone, et mort le 14 janvier 2022 dans cette même ville, qui a œuvré sur 500 projets dans une cinquantaine de pays, dont la France, notamment sur le quartier Antigone à Montpellier, me voici sur et aux alentours de la place de la Catalogne, pour une sortie Urban sketcher solo.
D’inspiration architecturale dite « classique » avec des références à l’Antique revisités, le quartier en question, conçu dans les années quatre-vingt, débute place de la Catalogne, près de la gare Montparnasse et se délimite par les rues du Château, Alain et Guilleminot, ainsi que par les places Slimane Azem et de l’Abbé Jean Lebeuf.
Pour commencer, je me suis positionné place de la Catalogne, endroit très minéral au milieu duquel se situe une fontaine qui sera amenée à être remplacée prochainement par un espace végétatif.
Il est à noter aussi que c’est ici que débute le parcours de la Coulée Verte du sud parisien qui serpente sur 14 km jusqu’à la gare de Massy-Verrières, dans l’Essonne.
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Direction maintenant place de l’Abbé Jean Lebeuf, à l’une des extrémités Sud de l' »ensemble Bofill ».
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Je terminerai par la place de Séoul. Tout comme la place de l’Amphithéâtre voisin, le verre et le minéral prédominent ici sur le végétal. Une absence de grands arbres permettrait cependant de rafraîchir l’endroit. Ce quartier a pratiquement une quarantaine d’années (en données 2022). Comme il est prévu de végétaliser la place de la Catalogne, espérons ici aussi qu'il sera prévu un programme de végétalisation qui viendra enrichir celui existant.
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C'est tout, pour le moment !!!
Nicolas globe croqueur.
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1 commentaire:
On peut aimer ou ne pas aimer les réalisations de cet architecte, mais il aura eu le mérite de prendre un parti-pris et de s'y tenir, contrairement à beaucoup d'architectures "modernes standardisées" à l'esthétique insipide, qui n'ont rien à voir les unes avec les autres et qui sont plus magnifiées par le dessin, l'aquarelle et la peinture que par la photo
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