Je ne pouvais dissocier ce croquis du poème de Rimbaud "La maline"...

Là, sur les Allées (notre boulevard sacré), j'ai retrouvé ce contentement des sens...
A travers ce croquis, je percevais la même "couleur brune" mélée d'odeurs de meubles cirés, de parfum de fruits et de repas.
Comme Rimbaud, j'explorai les lieux par plans rapprochés : les arbres, la façade, les fenêtres et enfin les chiens-assis transis sous le froid comme la serveuse du poème qui tapote sa joue pour demander un baiser...
"La Maline" Cahiers de Douai Octobre 1870
8 commentaires:
les rappels au poète donnent encore plus de charme à ce dessin qui déjà existe par lui-même.
l'ambiance hivernale, ton angle de vue, ton attachement pour ces chiens assis dans le froid est si bien rendu par ce rappel à Rimbaud. N'oublions pas la chaleur des baisers !!
c'est un vrai petit chef d'oeuvre, ce post!
Splendide!
A tous les amoureux de Rimbaud, je conseils la magnifique BD de Benjamin Flao et Christophe Dabitch : "La ligne de fuite"
Merci Michel !
Tu as raison !
Merci Cédric !
On va y aller faire un tour...Merci pour commentaire
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